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Véronique BESSE, député de la Vendée, vient de déposer une proposition de loi avec les députés Charles de COURSON et Jean DIONIS du SÉJOUR (NC) pour renforcer la compétitivité de l'agriculture française. La proposition de loi vise à exonérer de charges patronales l'ensemble des
emplois salariés agricoles afin que les agriculteurs vivent dignement des fruits de leur travail. En effet, le coût du travail agricole, particulièrement élevé en France, freine la compétitivité des agriculteurs français face à la concurrence des voisins européens comme l'Espagne ou l'Allemagne.
Si rien n'est fait, des pans entiers de notre secteur agricole qui s'effondrent déjà pourraient disparaître à court terme. Certaines production comme la fraise, la pomme ou la tomate ont déjà baissé de 10 à 40 % au cours des dernières années. Pour Véronique BESSE, cette proposition de loi doit s'inscrire dans un plan plus large de revitalisation de l'agriculture à travers deux mesures urgentes : l'indexation des prix agricoles sur le coût des matières premières et la protection des producteurs français face aux importations venant des pays qui ne respectent pas nos normes sanitaires, sociales et environnementales.
emplois salariés agricoles afin que les agriculteurs vivent dignement des fruits de leur travail. En effet, le coût du travail agricole, particulièrement élevé en France, freine la compétitivité des agriculteurs français face à la concurrence des voisins européens comme l'Espagne ou l'Allemagne.
Si rien n'est fait, des pans entiers de notre secteur agricole qui s'effondrent déjà pourraient disparaître à court terme. Certaines production comme la fraise, la pomme ou la tomate ont déjà baissé de 10 à 40 % au cours des dernières années. Pour Véronique BESSE, cette proposition de loi doit s'inscrire dans un plan plus large de revitalisation de l'agriculture à travers deux mesures urgentes : l'indexation des prix agricoles sur le coût des matières premières et la protection des producteurs français face aux importations venant des pays qui ne respectent pas nos normes sanitaires, sociales et environnementales.