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Au moment où l’Assemblée nationale examine le projet de loi sur l’enseignement supérieur et la recherche, Véronique BESSE réagit à l’article 2 qui prévoit d’enseigner en langues étrangères dans l’enseignement supérieur pour attirer les étudiants étrangers :
« C’est inacceptable ! C’est un sabordage linguistique et culturel ! C’est contraire à l’intérêt de la France, à son rayonnement dans le monde et à la qualité reconnue de son enseignement. En multipliant les programmes anglophones dans nos universités, quel intérêt pour les étudiants étrangers de venir en France ? »
« Le Français est une des langues les plus parlées au monde. En la marginalisant dans nos universités, c’est un coup porté à l’image de la France dans le monde. Ce serait un signal d’abandon et un désastre pour tous les pays francophones. »
« Pour peser dans le concert des nations, la France doit faire valoir ses atouts. Face à la mondialisation sauvage, qui gomme les cultures et qui uniformise, le français est un rempart. La France ne doit pas renoncer à elle-même. »
Véronique BESSE , Député de la Vendée
« C’est inacceptable ! C’est un sabordage linguistique et culturel ! C’est contraire à l’intérêt de la France, à son rayonnement dans le monde et à la qualité reconnue de son enseignement. En multipliant les programmes anglophones dans nos universités, quel intérêt pour les étudiants étrangers de venir en France ? »
« Le Français est une des langues les plus parlées au monde. En la marginalisant dans nos universités, c’est un coup porté à l’image de la France dans le monde. Ce serait un signal d’abandon et un désastre pour tous les pays francophones. »
« Pour peser dans le concert des nations, la France doit faire valoir ses atouts. Face à la mondialisation sauvage, qui gomme les cultures et qui uniformise, le français est un rempart. La France ne doit pas renoncer à elle-même. »
Véronique BESSE , Député de la Vendée