Thomas TIHY, Responsable Départemental des Jeunes Populaires de Vendée, condamne les accusations irresponsables, déshonorantes et mensongères du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS) dans le cadre de la lutte contre le VIH.

Les Jeunes Populaires de Vendée souhaitent réagir au communiqué de presse honteux publié par le MJS reprochant à la droite d’avoir mis fin à « l’union nationale » de la lutte contre le SIDA.

Ces propos sont insultants, infondés et font le déshonneur du MJS qui prouve une fois de plus la teneur démagogique de ses positions politiques.

La lutte contre le SIDA a été l’une des priorités gouvernementales en matière de santé tel qu’illustré par le grand Plan national de lutte contre le VIH et les IST (2010-2014). Elle est une cause non seulement nationale mais internationale et un défi majeur que l’ensemble des pays doivent ensemble relever. C’est dans cette optique que la France apporte massivement son aide à la recherche internationale et au développement de la trithérapie.

La droite n’a aucune leçon à recevoir de la gauche en matière de santé et de lutte contre le SIDA, et certainement pas du MJS, qui, rappelons-le, milite en faveur de l’aberration sanitaire qu’est la légalisation du cannabis.

Le SIDA est une maladie qui rend le système immunitaire incapable de résister à l'invasion de micro-organismes responsables d'infections graves. Généralement caractérisée par une importante perte de poids et par de la fatigue, cette maladie peut également entraîner des troubles neurologiques lorsque les cellules du cerveau sont atteintes. Il y a aussi un risque accru de cancer, particulièrement le sarcome de Kaposi.
La contamination du SIDA s'effectue par voie sanguine et sexuelle. La femme enceinte peut le transmettre également à son enfant. La maladie ne se déclare généralement pas immédiatement et il peut se passer 10 ans avant que les premiers symptômes n'apparaissent.
Elle est causée par un rétrovirus appelé virus de l'immunodéficience humaine (V.I.H.), identifié en 1983-84 par des scientifiques de l'Institut National du Cancer aux Etats-Unis et de l'Institut Pasteur en France.