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Joël SARLOT, Vice-Président du Conseil Général de la Vendée et Président du Comité Départemental du Tourisme déclare regretter l’annonce du Gouvernement consistant à passer de 5,5 % à 19,6 % la TVA sur les billets d’entrée des parcs à thème.
Cette mesure touche directement l’activité de plusieurs parcs vendéens. Ces sites touristiques sont des moteurs de l’économie du territoire, créent de l’emploi et investissent chaque année dans le développement local.
Les conséquences de cette mesure risquent de toucher tant l’économie départementale que la fréquentation touristique de la Vendée.
Alors que le pourcentage de français partant en vacances n’a jamais été aussi bas, le Gouvernement réduit les chances d’accéder aux vacances et aux loisirs pour les familles les plus modestes.
Il est par ailleurs fâcheux de mettre ainsi toute une profession au pied du mur ; en effet, les documents de promotion pour la saison 2012 sont pour la plupart d’ores et déjà imprimés, les contacts commerciaux engagés et les plans d’investissement arrêtés.
Je demande solennellement au Premier Ministre d’accepter de revenir sur cette mesure non concertée et préjudiciable, tant socialement qu’économiquement au département de la Vendée et souhaite que le débat parlementaire puisse amender cette disposition.
A lire dans le Parisien
Cette mesure touche directement l’activité de plusieurs parcs vendéens. Ces sites touristiques sont des moteurs de l’économie du territoire, créent de l’emploi et investissent chaque année dans le développement local.
Les conséquences de cette mesure risquent de toucher tant l’économie départementale que la fréquentation touristique de la Vendée.
Alors que le pourcentage de français partant en vacances n’a jamais été aussi bas, le Gouvernement réduit les chances d’accéder aux vacances et aux loisirs pour les familles les plus modestes.
Il est par ailleurs fâcheux de mettre ainsi toute une profession au pied du mur ; en effet, les documents de promotion pour la saison 2012 sont pour la plupart d’ores et déjà imprimés, les contacts commerciaux engagés et les plans d’investissement arrêtés.
Je demande solennellement au Premier Ministre d’accepter de revenir sur cette mesure non concertée et préjudiciable, tant socialement qu’économiquement au département de la Vendée et souhaite que le débat parlementaire puisse amender cette disposition.
A lire dans le Parisien