+ Jusqu’au 28 mars, à la salle des fêtes, bourse aux vêtements saison printemps-été. Dépôt mardi de 9 h à 15 h. Vente mercredi, de 9 h à 20 h, et jeudi, de 9 h à 12 h 30.
PENTAGONE
+ A 20 h 30, au Fuzz’Yon, concert Sidaction (chansons et rock). Prix des places : 6 €. Organisée par l’association Présertavi, cette soirée réunit le duo de Roannes Les Tits’Nassels (chansons), le groupe lillois de rock Ace Out et les Vendéens « Les Copains des Bois » (chansons). L’intégralité des bénéfices seront reversés à Sidaction.
+ A 20 h, au café Le Globe Trotter, place de la Vendée, café-parents sur le thème « Grands-parents, parents, enfants, quelles relations ? ».
+ A la maison Gueffier, jusqu’au 11 avril, exposition de sculptures et de peintures de Jean-François Joguet et Jacques Rochereau.
+ Depuis le 9 mars, reprise des travaux rue du maréchal Joffre.
+ A la médiathèque Benjamin Rabier, jusqu’au 28 mars, dans le cadre du Printemps des poètes, exposition « poésie, danger de mots » par Charles d’Estève. Soirée-lecture de poésie avec Charles d’Estève et des élèves du conservatoire jeudi 12 à 20 h 30.
+ A la médiathèque Benjamin Rabier, exposition « Abécédaire : les lettres et les mots de A à Z ». A la découverte de vingt albums illustrés par vingt et un des plus grands illustrateurs actuels.
+ Jusqu’au 13 avril au musée, exposition sur la carrière et les œuvres du photographe Constant Puyo (1857-1933).
JEAN YOLE
+ A 20, à la maison de quartier, projection du documentaire « Paysans sans terre ». Le thème : Au Brésil, d'immenses superficies de terres fertiles sont délaissées par leur propriétaire. En effet, grand comme 15 fois la France, le Brésil détient un des plus importants taux d'inégalités foncières : 1 % des propriétaires (50.000 personnes) détient 45 % des terres tandis que 5 millions de familles (soit 25 millions de personnes) n'en possèdent aucune. Face à cette situation absurde qui laisse des millions de personnes souffrir de la faim, des paysans du Mouvement des Travailleurs sans terre occupent ces terres afin de les cultiver. Malgré le danger de la répression des propriétaires et de leurs tueurs à gages, souvent aidés de la police locale, ils occupent la propriété et exigent du gouvernement qu'il exproprie les propriétaires de ces terres non cultivées.