Moins de 1600 milles avant l'arrivée. Chaque jour qui passe réduit la distance et rapproche Bernard de la fin de son tour du monde mais également de la négociation de l'anticyclone des Açores, la priorité du moment. Loin d'être le dernier obstacle dans sa remontée atlantique, il est pourtant à traiter avec tous les égards... histoire de finir en beauté dans les eaux vendéennes. Toujours rapide, le skipper de Cheminées Poujoulat reste dans le bon tempo à une semaine, tout au plus, de la fin de cette aventure.