Selon cette nouvelle étude revue et corrigée, les capacités prévisionnelles de production en août et septembre devraient permettre de couvrir la demande d’électricité en France continentale. Le solde des échanges présenté étant exportateur, les acteurs pourraient également avoir la possibilité d’exporter sur les marchés européens.
Sur la base des informations transmises par les opérateurs transmises à la mi-juin, le gestionnaire estime que pour des températures proches des normales saisonnières, le solde des échanges permettant de satisfaire les critères de sûreté se trouve diminué de plus de 5 000 MW en moyenne sur juillet, par rapport à l’étude réalisée avec les données prévisionnelles communiquées en avril par les producteurs.
En juillet, des importations pourraient ainsi s’avérer nécessaires pour couvrir la consommation d’électricité en France. Le niveau d’importation estimé pourrait ainsi atteindre 500 MW à la mi juillet.