Autres articles
-
La session du Conseil départemental du mardi 19 mars à Talmont-Saint-Hilaire
-
Élections municipales partielles complémentaires à Puy-de-Serre les dimanches 2 et 9 octobre 2022
-
Elections régionales et départementales : les programmes des candidats en Vendée
-
Yves Auvinet quittera ses fonctions de Président du Conseil départemental aux prochaines élections
-
Ruth Elkrief reçoit Philippe de Villiers
i[Le verdict est tombé : Eric Zemmour vient d’être condamné à 2000 euros d’amende avec sursis. Si le montant de l’amende est relativement peu élevé, la décision est claire : nous venons d’assister à une condamnation de la liberté d’expression au nom du « politiquement correct ».
Un « deux poids deux mesures » dangereux pour la liberté d’expression
L’UNI constate qu’Eric Zemmour a fait état d’un fait qui, jusqu’à présent, n’a pas été sérieusement contesté. Il est d’ailleurs inacceptable qu’Eric Zemmour ait été condamné pour avoir énoncé un fait qui a été avéré par un rapport du Sénat.
Pire, Eric Zemmour est condamné pour des propos qui sont les mêmes que ceux que l’actuel président de SOS Racisme, Dominique Sopo, partie au procès a écrit dans un livre publié en octobre 2005 : "L’exemple du traitement de la sur-délinquance des étrangers et des jeunes issus de l’immigration est ici éclairant. Longtemps nié en France, ce phénomène n’en était et n’en demeure pas moins réel. [...] Nier une évidence, c’est s’interdire d’en offrir une analyse."
La mobilisation doit s’amplifier contre le politiquement correct
L’UNI, à l’origine de plus de quarante comités locaux de soutien à Eric Zemmour et pour la défense de la liberté d’expression, appelle à une amplification du mouvement contre le politiquement correct. Notre pétition a déjà recueilli plus de 100 000 signatures. Cette affaire Zemmour est un symbole de la judiciarisation des opinions dans notre société et de la chape de plomb que les Français ressentent peser sur leurs paroles et leurs pensées.
L’UNI, qui avait lancé sa campagne « politiquement correct, vérité bâillonnée » avant le début de l’Affaire Zemmour, va continuer son combat contre le politiquement correct. De nouvelles actions menées par les 40 comités locaux de soutien à Eric Zemmour et pour la défense de la liberté d’expression seront lancées dans les prochaines semaines.
Enfin, l’UNI va faire parvenir aux parlementaires une pétition pour la liberté d’expression la semaine prochaine.]i
Un « deux poids deux mesures » dangereux pour la liberté d’expression
L’UNI constate qu’Eric Zemmour a fait état d’un fait qui, jusqu’à présent, n’a pas été sérieusement contesté. Il est d’ailleurs inacceptable qu’Eric Zemmour ait été condamné pour avoir énoncé un fait qui a été avéré par un rapport du Sénat.
Pire, Eric Zemmour est condamné pour des propos qui sont les mêmes que ceux que l’actuel président de SOS Racisme, Dominique Sopo, partie au procès a écrit dans un livre publié en octobre 2005 : "L’exemple du traitement de la sur-délinquance des étrangers et des jeunes issus de l’immigration est ici éclairant. Longtemps nié en France, ce phénomène n’en était et n’en demeure pas moins réel. [...] Nier une évidence, c’est s’interdire d’en offrir une analyse."
La mobilisation doit s’amplifier contre le politiquement correct
L’UNI, à l’origine de plus de quarante comités locaux de soutien à Eric Zemmour et pour la défense de la liberté d’expression, appelle à une amplification du mouvement contre le politiquement correct. Notre pétition a déjà recueilli plus de 100 000 signatures. Cette affaire Zemmour est un symbole de la judiciarisation des opinions dans notre société et de la chape de plomb que les Français ressentent peser sur leurs paroles et leurs pensées.
L’UNI, qui avait lancé sa campagne « politiquement correct, vérité bâillonnée » avant le début de l’Affaire Zemmour, va continuer son combat contre le politiquement correct. De nouvelles actions menées par les 40 comités locaux de soutien à Eric Zemmour et pour la défense de la liberté d’expression seront lancées dans les prochaines semaines.
Enfin, l’UNI va faire parvenir aux parlementaires une pétition pour la liberté d’expression la semaine prochaine.]i