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Alors que s’ouvre mercredi à Paris le salon du « Made in France », Yannick Moreau, député de la Vendée littorale, demande au gouvernement de soutenir et de protéger le savoir-faire français, notamment dans le domaine de la confection qui emploie encore 1300 personnes en Vendée !
Soutenir la fabrication en France
Soutenir la fabrication en France car au-delà des grandes marques françaises qui rayonnent dans le monde entier et qui traversent les crises avec une progression à deux chiffres, le secteur de la confection en France est passé de 200 000 à 12 000 emplois en vingt ans. Le gouvernement doit encourager le rapatriement de la production en France et mettre en œuvre un réel choc de compétitivité. En Italie, notre principal concurrent en Europe, le coût horaire de main d’œuvre est de 16,1 euros quand il est de 24,6 euros en France !
La mode et la confection, comme tant d’autres secteurs dans lesquels la France est mondialement reconnue, ont besoin tout à la fois de taxation des importations venant de pays aux normes sociales et environnementales dérisoires, et de mesures d’allégement de charges et de TVA concrètes, lisibles et immédiates, contrairement au crédit d’impôt qui prendra effet en 2014.
Protéger le savoir-faire français
D’abord en facilitant les embauches et les reprises d’entreprises dans un secteur où la moyenne d’âge est élevée (près de 50 ans) et où le risque de disparition du savoir-faire de notre confection est réel. Et que deviendront les grandes marques de luxe françaises quand le savoir-faire français aura disparu ?
Protéger le savoir-français, c’est aussi harmoniser l’appellation « Made in » au niveau européen. La concurrence est déloyale entre certains pays européens comme l’Italie qui, pour apposer l’étiquette « Made in Italy » se contente de constater que le siège social de l’entreprise est en Italie alors qu’en France c’est l’essentiel de la fabrication sur le territoire national qui conditionne le bénéfice de la mention « Made in France ».
Le « Made in France » est notre avenir. La ré-industrialisation et le soutien aux productions hexagonales sont parmi les clefs les plus sures pour ré-ouvrir les voies de l’emploi.
« Responsables publics ou consommateurs, un seul mot d’ordre : défendons le « Made in France » ! »
Yannick Moreau sera présent mercredi après-midi au salon de la Haute-Façon « MADE IN FRANCE » au Carrousel du Louvre à Paris.
Il portera une veste de la marque vendéenne « Mr. Strozza », exclusivement conçue et façonnée en Vendée par un créateur et des entreprises vendéennes.
Soutenir la fabrication en France
Soutenir la fabrication en France car au-delà des grandes marques françaises qui rayonnent dans le monde entier et qui traversent les crises avec une progression à deux chiffres, le secteur de la confection en France est passé de 200 000 à 12 000 emplois en vingt ans. Le gouvernement doit encourager le rapatriement de la production en France et mettre en œuvre un réel choc de compétitivité. En Italie, notre principal concurrent en Europe, le coût horaire de main d’œuvre est de 16,1 euros quand il est de 24,6 euros en France !
La mode et la confection, comme tant d’autres secteurs dans lesquels la France est mondialement reconnue, ont besoin tout à la fois de taxation des importations venant de pays aux normes sociales et environnementales dérisoires, et de mesures d’allégement de charges et de TVA concrètes, lisibles et immédiates, contrairement au crédit d’impôt qui prendra effet en 2014.
Protéger le savoir-faire français
D’abord en facilitant les embauches et les reprises d’entreprises dans un secteur où la moyenne d’âge est élevée (près de 50 ans) et où le risque de disparition du savoir-faire de notre confection est réel. Et que deviendront les grandes marques de luxe françaises quand le savoir-faire français aura disparu ?
Protéger le savoir-français, c’est aussi harmoniser l’appellation « Made in » au niveau européen. La concurrence est déloyale entre certains pays européens comme l’Italie qui, pour apposer l’étiquette « Made in Italy » se contente de constater que le siège social de l’entreprise est en Italie alors qu’en France c’est l’essentiel de la fabrication sur le territoire national qui conditionne le bénéfice de la mention « Made in France ».
Le « Made in France » est notre avenir. La ré-industrialisation et le soutien aux productions hexagonales sont parmi les clefs les plus sures pour ré-ouvrir les voies de l’emploi.
« Responsables publics ou consommateurs, un seul mot d’ordre : défendons le « Made in France » ! »
Yannick Moreau sera présent mercredi après-midi au salon de la Haute-Façon « MADE IN FRANCE » au Carrousel du Louvre à Paris.
Il portera une veste de la marque vendéenne « Mr. Strozza », exclusivement conçue et façonnée en Vendée par un créateur et des entreprises vendéennes.