Autres articles
La préfecture appelle les aspirants à un siège municipal à se manifester au plus vite.
Relances téléphoniques, tweets, conférences de presse : les préfectures sonnent le tocsin pour que les postulants aux municipales n’attendent pas la dernière minute pour déposer leurs candidatures. Après le 6 mars à 18 heures, ce sera trop tard.
Pour la première fois, chaque aspirant a l’obligation de déclarer sa candidature auprès de la préfecture de son département, quelle soit la taille de la commune. Jusqu’à présent cette obligation ne s’appliquait qu’aux têtes de liste des communes d’au moins 3 500 habitants. Dans les villages, il était possible d’être élu sans s’être porté candidat et même être élu dans plusieurs communes, l’intéressé devant alors choisir. Ce n’est plus possible et ce changement concerne 33 702 communes (sur 36 769) comptant moins de 3 500 habitants.
En cas d’absence de candidat, on ne vote pas et le préfet institue une «délégation spéciale» de fonctionnaires territoriaux ou d’ex-élus faisant fonction de conseil municipal. Une élection partielle est organisée au bout de trois mois et s’il n’y a toujours pas de candidat, le préfet propose la dissolution de la commune et son rattachement à une commune voisine. Un cas inédit... peut-être jusqu’à ces élections.
Relances téléphoniques, tweets, conférences de presse : les préfectures sonnent le tocsin pour que les postulants aux municipales n’attendent pas la dernière minute pour déposer leurs candidatures. Après le 6 mars à 18 heures, ce sera trop tard.
Pour la première fois, chaque aspirant a l’obligation de déclarer sa candidature auprès de la préfecture de son département, quelle soit la taille de la commune. Jusqu’à présent cette obligation ne s’appliquait qu’aux têtes de liste des communes d’au moins 3 500 habitants. Dans les villages, il était possible d’être élu sans s’être porté candidat et même être élu dans plusieurs communes, l’intéressé devant alors choisir. Ce n’est plus possible et ce changement concerne 33 702 communes (sur 36 769) comptant moins de 3 500 habitants.
En cas d’absence de candidat, on ne vote pas et le préfet institue une «délégation spéciale» de fonctionnaires territoriaux ou d’ex-élus faisant fonction de conseil municipal. Une élection partielle est organisée au bout de trois mois et s’il n’y a toujours pas de candidat, le préfet propose la dissolution de la commune et son rattachement à une commune voisine. Un cas inédit... peut-être jusqu’à ces élections.