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👉 Le préfet du Finistère, Alain Espinasse suit attentivement les difficultés d’approvisionnement en carburant des stations-service signalées dans le département.
A l'heure actuelle, on dénombre 30 stations en rupture de carburant sur 147.
Ces difficultés, qui restent ponctuelles, résultent essentiellement des effets d’un afflux des usagers de la route vers les stations-service, engendrant ainsi une consommation plus élevée qu’habituellement.
Il ne s’agit pas d’une situation de pénurie de carburant : l’alimentation des stations-service est garantie dans la durée malgré les blocages en cours des dépôts pétroliers de Brest et Lorient.
👉 Des solutions alternatives sont mises en places par la plupart des fournisseurs, qui se tournent vers d'autres dépôts (Donges, Verne-sur-Seiche) pour réalimenter leurs stocks : les délais d'alimentations étant plus longs, il peut donc y avoir des effets de ruptures provisoires d'alimentation de stations pour certains distributeurs, mais qui ne sont pas appelés à durer et ne peuvent qu'être accentués par les excès de réserves de précaution des consommateurs.
📢 Le préfet du Finistère en appelle donc au civisme et à la responsabilité de chacun. Il préconise un comportement citoyen pour assurer la satisfaction des besoins de tous.
ℹ️ Pour suivre en temps réel la situation évolutive des carburants dans les stations-services du département, les usagers sont invités à consulter le site : https://www.prix-carburants.gouv.fr
A l'heure actuelle, on dénombre 30 stations en rupture de carburant sur 147.
Ces difficultés, qui restent ponctuelles, résultent essentiellement des effets d’un afflux des usagers de la route vers les stations-service, engendrant ainsi une consommation plus élevée qu’habituellement.
Il ne s’agit pas d’une situation de pénurie de carburant : l’alimentation des stations-service est garantie dans la durée malgré les blocages en cours des dépôts pétroliers de Brest et Lorient.
👉 Des solutions alternatives sont mises en places par la plupart des fournisseurs, qui se tournent vers d'autres dépôts (Donges, Verne-sur-Seiche) pour réalimenter leurs stocks : les délais d'alimentations étant plus longs, il peut donc y avoir des effets de ruptures provisoires d'alimentation de stations pour certains distributeurs, mais qui ne sont pas appelés à durer et ne peuvent qu'être accentués par les excès de réserves de précaution des consommateurs.
📢 Le préfet du Finistère en appelle donc au civisme et à la responsabilité de chacun. Il préconise un comportement citoyen pour assurer la satisfaction des besoins de tous.
ℹ️ Pour suivre en temps réel la situation évolutive des carburants dans les stations-services du département, les usagers sont invités à consulter le site : https://www.prix-carburants.gouv.fr
Rédigé par Rennes Info le Mardi 13 Février 2024 à 09:23
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Ce samedi à Saint-Malo, sur le Village de la Route du Rhum], l’astronaute Thomas Pesquet (en sa qualité de parrain) et Nathalie Renoux (marraine) ont baptisé le nouvel Initiatives-Cœur de Sam Davies. C’est à bord de ce bateau, mis à l’eau le 30 juillet dernier, que la navigatrice prendra le départ de sa 28e transatlantique.
Pour ce grand moment, François Damiens, soutien historique d’Initiatives-Cœur pour qui il avait couru la Transat Jacques Vabre en 2013, ou encore Titouan Lamazou, premier vainqueur du Vendée Globe, étaient notamment présents. C’est au jeune Diby, originaire du Mali et opéré du cœur grâce à Mécénat Chirurgie Cardiaque, qu’est revenu l’honneur de symboliquement casser un ballon rempli d’eau sur le bateau.
Ce samedi, Sam Davies, son équipe et ses partenaires ont vécu un moment émouvant, à l’occasion du baptême de l’IMOCA Initiatives-Cœur. Il y avait du beau monde aux côtés de la navigatrice. En plus de Thomas Pesquet et Nathalie Renoux, l'acteur François Damiens était également présent, ainsi que les Youtubeurs Major Mouvement, Jujufitcats et Tiboinshape. Titouan Lamazou, premier vainqueur du Vendée Globe a remis à Sam un cadre du portrait de la petite Naylah qu'il a lui-même réalisé et qui orne la grand-voile.
Le dispositif était un peu particulier. Le parrain et la marraine n’ont pas cassé la traditionnelle bouteille de champagne. C’est un jeune enfant sauvé par Mécénat Chirurgie Cardiaque, Diby, 8 ans et originaire du Mali, qui a symboliquement cassé un ballon rempli d’eau sur le bateau.
Car l'engagement solidaire d'Initiatives-Cœur est l'essence même du projet qui a permis de sauver 347 enfants depuis 2012. À chaque grande course, les sponsors mécènes du bateau (Les Chocolats du Coeur, K-LINE et VINCI Énergies) déploient l'opération 1 clic = 1 cœur et convertissent chaque clic sur les comptes Facebook et Instagram du bateau en euro pour l'association Mécénat Chirurgie Cardiaque. Tous les 12000 clics, 1 enfant souffrant d'une grave malformation cardiaque ne pouvant être opéré dans son pays d'origine peut ainsi être pris opéré par l'association.
A noter qu’avant même le départ de la course, 5 enfants ont déjà pu être sauvés, l’objectif étant de porter ce chiffre à 20 à la fin de la Route du Rhum.
Pour ce grand moment, François Damiens, soutien historique d’Initiatives-Cœur pour qui il avait couru la Transat Jacques Vabre en 2013, ou encore Titouan Lamazou, premier vainqueur du Vendée Globe, étaient notamment présents. C’est au jeune Diby, originaire du Mali et opéré du cœur grâce à Mécénat Chirurgie Cardiaque, qu’est revenu l’honneur de symboliquement casser un ballon rempli d’eau sur le bateau.
Ce samedi, Sam Davies, son équipe et ses partenaires ont vécu un moment émouvant, à l’occasion du baptême de l’IMOCA Initiatives-Cœur. Il y avait du beau monde aux côtés de la navigatrice. En plus de Thomas Pesquet et Nathalie Renoux, l'acteur François Damiens était également présent, ainsi que les Youtubeurs Major Mouvement, Jujufitcats et Tiboinshape. Titouan Lamazou, premier vainqueur du Vendée Globe a remis à Sam un cadre du portrait de la petite Naylah qu'il a lui-même réalisé et qui orne la grand-voile.
Le dispositif était un peu particulier. Le parrain et la marraine n’ont pas cassé la traditionnelle bouteille de champagne. C’est un jeune enfant sauvé par Mécénat Chirurgie Cardiaque, Diby, 8 ans et originaire du Mali, qui a symboliquement cassé un ballon rempli d’eau sur le bateau.
Car l'engagement solidaire d'Initiatives-Cœur est l'essence même du projet qui a permis de sauver 347 enfants depuis 2012. À chaque grande course, les sponsors mécènes du bateau (Les Chocolats du Coeur, K-LINE et VINCI Énergies) déploient l'opération 1 clic = 1 cœur et convertissent chaque clic sur les comptes Facebook et Instagram du bateau en euro pour l'association Mécénat Chirurgie Cardiaque. Tous les 12000 clics, 1 enfant souffrant d'une grave malformation cardiaque ne pouvant être opéré dans son pays d'origine peut ainsi être pris opéré par l'association.
A noter qu’avant même le départ de la course, 5 enfants ont déjà pu être sauvés, l’objectif étant de porter ce chiffre à 20 à la fin de la Route du Rhum.
C’est un jour de fête pour l’IETR (CNRS/CentraleSupélec/Insa Rennes/Nantes Université /Université de Rennes 1), ce jeudi 22 septembre 2022. En clôture de son vingtième anniversaire, après des événements à Nantes (44), Saint-Brieuc (22) et Monterfil (35), le laboratoire inaugure une nouvelle halle technologique sur son site rennais, au cœur du campus de Beaulieu, en présence de David Alis, président de l'Université de Rennes 1, de Serge Verdeyme, délégué scientifique à l'Institut des sciences de l'ingénierie et des systèmes du CNRS, de Christophe Bidan, directeur du campus de Rennes de CentraleSupélec, d’Hervé Folliot, directeur de la recherche à l’Insa Rennes, de Jean-Luc Chenut, président du Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine, d'Olivier David, vice-président du Conseil régional de Bretagne et d'Emmanuel Berthier, préfet de la région Bretagne, préfet d’Ille-et-Vilaine. Infrastructures numériques et cybersécurité mais aussi santé, énergie, environnement et mobilités, sont au cœur des recherches menées à l’IETR, notamment grâce à ses nombreuses plateformes, dont les trois chambres anéchoïques, de la nouvelle halle technologique.
Historiquement établi dans les domaines de l’électronique et des télécommunications, l’Institut d’électronique et des technologies du numérique (IETR - CNRS/Centrale Supélec/Insa Rennes/Nantes Université/Université de Rennes 1) se positionne résolument sur le développement des technologies du numérique. Aujourd'hui, cette forte dynamique permet à l'IETR de répondre à des enjeux sociétaux majeurs, notamment en matière d’infrastructures numériques, d'énergie, de santé, d’environnement, de cybersécurité et de mobilités.
L'IETR évolue au premier plan européen de la recherche, que ce soit dans le domaine des ondes électromagnétiques (antennes, radar, propagation, localisation, bio-électromagnétisme, compatibilité électromagnétique), des matériaux et micro-technologies, de l'image et des signaux, des systèmes embarqués et de l’électronique embarquée à fort enjeu de sécurité et de sobriété, ou des communications numériques. Il s’attaque à de multiples défis liés à la transformation numérique de la société mais aussi aux transitions à venir en termes d’environnement, d’écologie et de santé. Très largement impliqué dans de multiples partenariats industriels et de recherche collaborative, l’IETR mène ses projets de recherche de bout en bout : de l’analyse théorique à la preuve de concept.
La nouvelle halle technologique, et notamment ses trois salles anéchoïques1, renforcera l’offre du laboratoire en matière d’infrastructures expérimentales technologiques et métrologiques pour la caractérisation, en environnement contrôlé, de systèmes antennaires, à des fins de quantification ou de qualification. Elle permettra également de mettre en œuvre des expérimentations de pointe pour le bio-électromagnétisme (étude des interactions électromagnétiques avec le vivant), la RFID, les technologies très haut-débit sub-térahertz, le développement de systèmes radars pour l’observation et le suivi environnemental, ou encore l’imagerie électromagnétique et les études de propagation dans les milieux complexes.
La construction de la halle technologique, inscrite au CPER immobilier 2015-2020, a bénéficié de financements à hauteur de 3.8 M€ répartis comme suit :
CPER 2015-2020 : 2.935 M€ de la part de l’Etat (1.159 M€), la Région Bretagne (454 k€), le Département Ille-et-Vilaine (661 k€) et Rennes Métropole (661 k€),
CPER équipements : 104k€ de participation pour installations spécifiques à la recherche dans les locaux
Hors CPER : 430 k€ de la Région Bretagne, 210 k€ de la métropole, et 105 k€ de l’IETR.
Une partie significative des équipements recherche hébergés dans la halle technologique ont été acquis dans le cadre du CPER recherche 2015-2020 « STIC & Ondes ».
Historiquement établi dans les domaines de l’électronique et des télécommunications, l’Institut d’électronique et des technologies du numérique (IETR - CNRS/Centrale Supélec/Insa Rennes/Nantes Université/Université de Rennes 1) se positionne résolument sur le développement des technologies du numérique. Aujourd'hui, cette forte dynamique permet à l'IETR de répondre à des enjeux sociétaux majeurs, notamment en matière d’infrastructures numériques, d'énergie, de santé, d’environnement, de cybersécurité et de mobilités.
L'IETR évolue au premier plan européen de la recherche, que ce soit dans le domaine des ondes électromagnétiques (antennes, radar, propagation, localisation, bio-électromagnétisme, compatibilité électromagnétique), des matériaux et micro-technologies, de l'image et des signaux, des systèmes embarqués et de l’électronique embarquée à fort enjeu de sécurité et de sobriété, ou des communications numériques. Il s’attaque à de multiples défis liés à la transformation numérique de la société mais aussi aux transitions à venir en termes d’environnement, d’écologie et de santé. Très largement impliqué dans de multiples partenariats industriels et de recherche collaborative, l’IETR mène ses projets de recherche de bout en bout : de l’analyse théorique à la preuve de concept.
La nouvelle halle technologique, et notamment ses trois salles anéchoïques1, renforcera l’offre du laboratoire en matière d’infrastructures expérimentales technologiques et métrologiques pour la caractérisation, en environnement contrôlé, de systèmes antennaires, à des fins de quantification ou de qualification. Elle permettra également de mettre en œuvre des expérimentations de pointe pour le bio-électromagnétisme (étude des interactions électromagnétiques avec le vivant), la RFID, les technologies très haut-débit sub-térahertz, le développement de systèmes radars pour l’observation et le suivi environnemental, ou encore l’imagerie électromagnétique et les études de propagation dans les milieux complexes.
La construction de la halle technologique, inscrite au CPER immobilier 2015-2020, a bénéficié de financements à hauteur de 3.8 M€ répartis comme suit :
CPER 2015-2020 : 2.935 M€ de la part de l’Etat (1.159 M€), la Région Bretagne (454 k€), le Département Ille-et-Vilaine (661 k€) et Rennes Métropole (661 k€),
CPER équipements : 104k€ de participation pour installations spécifiques à la recherche dans les locaux
Hors CPER : 430 k€ de la Région Bretagne, 210 k€ de la métropole, et 105 k€ de l’IETR.
Une partie significative des équipements recherche hébergés dans la halle technologique ont été acquis dans le cadre du CPER recherche 2015-2020 « STIC & Ondes ».
En 2019, nouvelles montures, marins internationaux, mixité, jeunes bizuths et vieux routiers, représentent tous les ingrédients pour faire de cette édition de la plus longue des transatlantiques, un évènement et une compétition forts en émotions !.
« Cette édition s’annonce exceptionnelle, nous avons un record de participations avec 67 concurrents qui prendront le départ du Havre et surtout un plateau dont le niveau est très élevé. Nous allons tout mettre en œuvre pour faire de cette 14e édition, une épreuve inoubliable pour tous les duos présents. » Gildas Gautier, délégué général de La Transat Jacques Vabre.
Alors que les inscriptions viennent de se terminer, voici les concurrents que le public pourra découvrir dans le bassin Paul Vatine, du vendredi 18 octobre au dimanche 27 octobre, date du départ de la course.
Class40 : vers une redoutable bagarre
En 2017, le public avait retenu son souffle pendant 17 jours tant le suspense et les rebondissements avaient jalonné le parcours des Class40 avant de saluer la victoire sur le fil de V and B (Maxime Sorel/Antoine Carpentier). Il en sera forcément de même cette année au regard de la composition des 29 équipages inscrits. Aymeric Chappellier sur Aïna Enfance et Avenir compte bien cette fois monter sur la plus haute marche du podium, tout comme Louis Duc qui avait dû abandonner à Madère sur blessure. Ces deux Class40 désormais très au point vont s’affronter avec trois nouveaux bateaux mis à l’eau cette année : Banque du Léman (Simon Koster/Valentin Gautier) un plan Sam Manuard, Cape Racing Yacht (Jorg Riechers/Christophe Château) du cabinet d’architecture navale Owen Clarke Design et le scow flambant neuf de Ian Lipinski dessiné par David Raison. Il faudra également compter sur trois autres Class40 nés en 2018 : Leyton (Arthur Le Vaillant/Sam Goodchild), Lamotte Module Création (Luke Berry/Tanguy Le Turquais) et Beijaflore (William Mathelin-Moreau/Marc Guillemot). A côté de ces 7 équipages bien armés, plusieurs duos peuvent tirer leur épingle du jeu comme celui de Kito de Pavant (associé à Achille Nebout) qui participera à sa 10ème Transat Jacques Vabre mais sa première en Class40 : tout le monde sait que ce vieux routier de la course au large a plus d’un tour dans son sac ! L’internationalisation de la classe est également le fait marquant de la Route du Café 2019 avec des équipages suisses, allemands, américains, belges et japonais.
Multi 50 : 4 mousquetaires dans le vent
Petite par la taille mais grande par la qualité, la classe de Mulit50 verra quatre équipages s’affronter à couteaux tirés et à vitesse grand V à travers l’Atlantique. Thibaut Vauchel-Camus et Fred Duthil visent clairement la victoire sur leur 50 pieds Solidaires en Peloton ARSEP mis à l’eau en 2018 et construit à Dubaï sur plan VPLP. Face à ce bolide nouvelle génération, Gilles Lamiré, fort de 3 participations à la Transat Jacques Vabre, relève le défi de la gagne à bord de Team Groupe GCA-Mille et un sourires, l’ancien FenêtréA, double vainqueur de la Route du Café avec Erwan Le Roux. Le troisième concurrent est un petit nouveau sur le circuit des karts de 50 pieds : Fabrice Payen sera le skipper de l’ancien bateau de Gilles Lamiré. Enfin, il faudra compter sur un quatrième équipage dont le nom des skippers et du bateau sont tenus secret pour le moment… Pour ces quatre-là, la compétition sur la Transat Jacques Vabre sera extrême tant ces bateaux sont volages et diablement inconfortables à haute vitesse.
IMOCA : un plateau exceptionnel
Sur les 34 équipages inscrits, 6 IMOCA de toute dernière génération s’élanceront vers le Brésil. Le Charal de Jérémie Beyou (co-skipper Christopher Pratt) bien sûr, mais également la bombe de Thomas Ruyant dessinée par Guillaume Verdier et construite en Italie, la fusée d’Alex Thomson, Hugo Boss, plan VPLP fabriqué en Angleterre, le tout nouvel Arkea Paprec de Sébastien Simon (co-skipper Vincent Riou), le flambant neuf Apivia, signé lui-aussi par Guillaume Verdier, de Charlie Dalin (co-skipper Yann Eliès) et enfin celui du Japonais Kojiro Shiraishi, sistership de Charal. Du beau monde et de grands talents prendront part à la 14ème Route du Café, bien décidés à survoler l’Atlantique aussi vite que l’avait fait sur l’édition 2017 le duo Jean-Pierre Dick et Yann Eliès en 13 jours et 7 h.
Il va pleuvoir des histoires d’hommes et de femmes dans cette catégorie qui joue à guichet fermé, tant les tandems sont intéressants et expérimentés : Clarisse Cremer, bizuth sur la course, embarque Armel Le Cléac’h , Miranda Merron et Halvard Mabire, couple à la ville comme à la mer naviguera ensemble pour la première fois en Imoca, Nicolas Troussel naviguera avec Jean Le Cam, le quintuple champion du monde handivoile Damien Seguin a comme co-skipper le dernier vainqueur de La Solitaire Urgo Le Figaro Yann Richomme, Sam Davies, 5 participations, et Paul Meilhat, vainqueur de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe… et tant d’autres. Un plateau incroyablement relevé et des personnalités à part entière. On se régale d’avance d’une édition corsée et serrée.
Les 67 duos seront présents dans le bassin Paul Vatine dès le vendredi 18 octobre pour s’élancer vers les terres de café le dimanche 27 octobre 2019, après une semaine de festivités au Havre. Ils auront à cœur de braver l’Atlantique en duo vers le Brésil.
A noter :
Marc Guillemot en sera à sa 11e participation, record de la Transat Jacques Vabre
Kito de Pavant fête sa 10ème participation
Basile Bourgnon, 17 ans, sera le plus jeune concurrent
Richard Tolkien, 64 ans sera le plus âgé
Vincent Riou et Halvard Mabire ont participé à la première édition en 1993
Il y aura :
11 femmes
28 étrangers
12 nationalités
Ouverture du village au Havre : vendredi 18 octobre 14h00
« Cette édition s’annonce exceptionnelle, nous avons un record de participations avec 67 concurrents qui prendront le départ du Havre et surtout un plateau dont le niveau est très élevé. Nous allons tout mettre en œuvre pour faire de cette 14e édition, une épreuve inoubliable pour tous les duos présents. » Gildas Gautier, délégué général de La Transat Jacques Vabre.
Alors que les inscriptions viennent de se terminer, voici les concurrents que le public pourra découvrir dans le bassin Paul Vatine, du vendredi 18 octobre au dimanche 27 octobre, date du départ de la course.
Class40 : vers une redoutable bagarre
En 2017, le public avait retenu son souffle pendant 17 jours tant le suspense et les rebondissements avaient jalonné le parcours des Class40 avant de saluer la victoire sur le fil de V and B (Maxime Sorel/Antoine Carpentier). Il en sera forcément de même cette année au regard de la composition des 29 équipages inscrits. Aymeric Chappellier sur Aïna Enfance et Avenir compte bien cette fois monter sur la plus haute marche du podium, tout comme Louis Duc qui avait dû abandonner à Madère sur blessure. Ces deux Class40 désormais très au point vont s’affronter avec trois nouveaux bateaux mis à l’eau cette année : Banque du Léman (Simon Koster/Valentin Gautier) un plan Sam Manuard, Cape Racing Yacht (Jorg Riechers/Christophe Château) du cabinet d’architecture navale Owen Clarke Design et le scow flambant neuf de Ian Lipinski dessiné par David Raison. Il faudra également compter sur trois autres Class40 nés en 2018 : Leyton (Arthur Le Vaillant/Sam Goodchild), Lamotte Module Création (Luke Berry/Tanguy Le Turquais) et Beijaflore (William Mathelin-Moreau/Marc Guillemot). A côté de ces 7 équipages bien armés, plusieurs duos peuvent tirer leur épingle du jeu comme celui de Kito de Pavant (associé à Achille Nebout) qui participera à sa 10ème Transat Jacques Vabre mais sa première en Class40 : tout le monde sait que ce vieux routier de la course au large a plus d’un tour dans son sac ! L’internationalisation de la classe est également le fait marquant de la Route du Café 2019 avec des équipages suisses, allemands, américains, belges et japonais.
Multi 50 : 4 mousquetaires dans le vent
Petite par la taille mais grande par la qualité, la classe de Mulit50 verra quatre équipages s’affronter à couteaux tirés et à vitesse grand V à travers l’Atlantique. Thibaut Vauchel-Camus et Fred Duthil visent clairement la victoire sur leur 50 pieds Solidaires en Peloton ARSEP mis à l’eau en 2018 et construit à Dubaï sur plan VPLP. Face à ce bolide nouvelle génération, Gilles Lamiré, fort de 3 participations à la Transat Jacques Vabre, relève le défi de la gagne à bord de Team Groupe GCA-Mille et un sourires, l’ancien FenêtréA, double vainqueur de la Route du Café avec Erwan Le Roux. Le troisième concurrent est un petit nouveau sur le circuit des karts de 50 pieds : Fabrice Payen sera le skipper de l’ancien bateau de Gilles Lamiré. Enfin, il faudra compter sur un quatrième équipage dont le nom des skippers et du bateau sont tenus secret pour le moment… Pour ces quatre-là, la compétition sur la Transat Jacques Vabre sera extrême tant ces bateaux sont volages et diablement inconfortables à haute vitesse.
IMOCA : un plateau exceptionnel
Sur les 34 équipages inscrits, 6 IMOCA de toute dernière génération s’élanceront vers le Brésil. Le Charal de Jérémie Beyou (co-skipper Christopher Pratt) bien sûr, mais également la bombe de Thomas Ruyant dessinée par Guillaume Verdier et construite en Italie, la fusée d’Alex Thomson, Hugo Boss, plan VPLP fabriqué en Angleterre, le tout nouvel Arkea Paprec de Sébastien Simon (co-skipper Vincent Riou), le flambant neuf Apivia, signé lui-aussi par Guillaume Verdier, de Charlie Dalin (co-skipper Yann Eliès) et enfin celui du Japonais Kojiro Shiraishi, sistership de Charal. Du beau monde et de grands talents prendront part à la 14ème Route du Café, bien décidés à survoler l’Atlantique aussi vite que l’avait fait sur l’édition 2017 le duo Jean-Pierre Dick et Yann Eliès en 13 jours et 7 h.
Il va pleuvoir des histoires d’hommes et de femmes dans cette catégorie qui joue à guichet fermé, tant les tandems sont intéressants et expérimentés : Clarisse Cremer, bizuth sur la course, embarque Armel Le Cléac’h , Miranda Merron et Halvard Mabire, couple à la ville comme à la mer naviguera ensemble pour la première fois en Imoca, Nicolas Troussel naviguera avec Jean Le Cam, le quintuple champion du monde handivoile Damien Seguin a comme co-skipper le dernier vainqueur de La Solitaire Urgo Le Figaro Yann Richomme, Sam Davies, 5 participations, et Paul Meilhat, vainqueur de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe… et tant d’autres. Un plateau incroyablement relevé et des personnalités à part entière. On se régale d’avance d’une édition corsée et serrée.
Les 67 duos seront présents dans le bassin Paul Vatine dès le vendredi 18 octobre pour s’élancer vers les terres de café le dimanche 27 octobre 2019, après une semaine de festivités au Havre. Ils auront à cœur de braver l’Atlantique en duo vers le Brésil.
A noter :
Marc Guillemot en sera à sa 11e participation, record de la Transat Jacques Vabre
Kito de Pavant fête sa 10ème participation
Basile Bourgnon, 17 ans, sera le plus jeune concurrent
Richard Tolkien, 64 ans sera le plus âgé
Vincent Riou et Halvard Mabire ont participé à la première édition en 1993
Il y aura :
11 femmes
28 étrangers
12 nationalités
Ouverture du village au Havre : vendredi 18 octobre 14h00
Le 10 mars, Sarah Auffret, militante bretonne pour l'environnement, se rendait à Nairobi pour porter le projet Clean seas initiative dans le cadre du One Planet Summit, le rendez-vous international en faveur du climat, sous l'égide de l'ONU.
Malheureusement elle faisait partie des 157 occupants du Boeing 737 qui s'est écrasé peu de temps après le décollage d'Addis-Abeba, le 10 mars 2019.
Sarah Auffret était, d'après ses proches, quelqu'un de chaleureux, généreux et profondément engagé en faveur de la protection de l'environnement.
Elle travaillait au sein de l'Association des Opérateurs de Croisières des Expéditions dans l'Arctique (AECO). C'est dans le cadre de ces actions qu'elle se rendait au Kenya, afin de participer aux discussions pour faire avancer les décisions sur l'environnement.
Afin de rendre hommage à Sarah et son engagement envers l'environnement, un membre de sa famille, en coordination avec l'AECO, a décidé de lancer une campagne de crowdfunding sur GoFundMe. Les dons seront reversés à un fonds ou une association au nom de Sarah qui continuera à se battre au nom des convictions qu'elle portait.
Malheureusement elle faisait partie des 157 occupants du Boeing 737 qui s'est écrasé peu de temps après le décollage d'Addis-Abeba, le 10 mars 2019.
Sarah Auffret était, d'après ses proches, quelqu'un de chaleureux, généreux et profondément engagé en faveur de la protection de l'environnement.
Elle travaillait au sein de l'Association des Opérateurs de Croisières des Expéditions dans l'Arctique (AECO). C'est dans le cadre de ces actions qu'elle se rendait au Kenya, afin de participer aux discussions pour faire avancer les décisions sur l'environnement.
Afin de rendre hommage à Sarah et son engagement envers l'environnement, un membre de sa famille, en coordination avec l'AECO, a décidé de lancer une campagne de crowdfunding sur GoFundMe. Les dons seront reversés à un fonds ou une association au nom de Sarah qui continuera à se battre au nom des convictions qu'elle portait.
Dépaysement garanti avec ce nouveau titre de la collection « Les Clés pour bien voyager » qui nous mène à pied, à vélo, en road trip ou sur l’eau à la découverte de la Manche et ses 350 kilomètres de côtes parmi les plus préservées de France. Un littoral fabuleux qui a des airs de bout du monde, à seulement trois heures de Paris.
Les embruns, les vagues et les marées – les plus grandes d’Europe – rythment le quotidien de la presqu’île du Cotentin. Ici une simple balade à pied, à vélo ou en bateau est comme un voyage aux confins de l’Écosse ou de l’Irlande… Les pays de cette presqu’île normande (marais du Cotentin, Plain, Val de Saire, la Hague, Côte des Îles, baie du Mont-Saint-Michel, Chausey) possèdent des caractères et des paysages tellement différents. Tous recèlent des trésors, naturels ou patrimoniaux, des plus vieilles roches de France aux édifices Vauban, en passant bien sûr par l’abbaye du Mont-Saint-Michel, l’archipel de Chausey ou le sublime port d’échouage de Barfleur. Ici, tout invite au voyage et à la découverte d’une nature spectaculaire.
Normand d’origine et géologue de formation, Arnaud Guérin nous offre les clés pour explorer ce littoral incomparable, observer les oiseaux au fil des saisons, marcher sur les 7 000 kilomètres de chemins en randonnée à la journée ou en trek au long cours, partir à la voile et naviguer vers des îles, voyager à vélo le long de 1 700 kilomètres d’itinéraires balisés, explorer les dunes ou les plus vieilles roches de France, pratiquer la pêche à pied, faire de la photographie ou simplement prendre du bon temps en découvrant la Manche par ce qu’elle offre de plus envoûtant : son littoral.
La Manche littorale... Presqu'île du Cotentin - Du Mont-Saint-Michel aux plages du Débarquement d'Arnaud Guérin
Collection Les Clés pour bien voyager 192 pages. Format : 17,5 x 24,8 cm. Façonnage : souple. Prix TTC : 25.00 €
Normand d’origine et géologue de formation, Arnaud Guérin nous offre les clés pour explorer ce littoral incomparable, observer les oiseaux au fil des saisons, marcher sur les 7 000 kilomètres de chemins en randonnée à la journée ou en trek au long cours, partir à la voile et naviguer vers des îles, voyager à vélo le long de 1 700 kilomètres d’itinéraires balisés, explorer les dunes ou les plus vieilles roches de France, pratiquer la pêche à pied, faire de la photographie ou simplement prendre du bon temps en découvrant la Manche par ce qu’elle offre de plus envoûtant : son littoral.
La Manche littorale... Presqu'île du Cotentin - Du Mont-Saint-Michel aux plages du Débarquement d'Arnaud Guérin
Collection Les Clés pour bien voyager 192 pages. Format : 17,5 x 24,8 cm. Façonnage : souple. Prix TTC : 25.00 €
Contact: rennesinfo@gmx.fr ou par téléphone au 06 86 76 52 32