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Didier Jégu, Directeur du Centre hospitalier.
Le nouvel hôpital est désormais situé à la Vannerie, à l'entrée de l'agglomération à côté de la clinique déjà installée depuis plus d'un an. Il sera inauguré par Marie-Sophie Dessaulle, Directrice Générale de l'Agence Régionale de Santé des Pays de la Loire le samedi 12 à 10h30. Ce même jour de 10h30 à 18h00, le public pourra le visiter avant l'entrée en service. Il découvrira ainsi les nouveaux équipements : lits, scanners, matériel de soins : « Il y en a pour six millions d'euros » informe Didier Jégu, directeur de l'hôpital. Les personnes poursuivront leur visite le dimanche 13 de 11h00 à 17h00. Les patients seront accueillis au Centre Hospitalier Côte de Lumière à partir du lundi 21 novembre. « Le pôle santé, c'est un projet de longue haleine lancé il y a près de dix ans, rappelle Didier Jégu.
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Santé
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Des nouvelles des quelques skippers...
La Manche et ses pièges (coup de vent la nuit dernière, courants, bateaux de pêche et trafic maritime incessant) sont dans leur sillage. Après un départ sage, Jacques Fournier et Jean-Christophe Caso ont tenu un rythme soutenu toute la nuit à 10-15 noeuds de vitesse moyenne ! A 8h00 ce jeudi, la tête de flotte des Class40 pointe déjà ses étraves en Atlantique, le Team Groupe Picoty est 8e à 24 milles des leaders (et à 12 milles seulement des deuxièmes). Vincent Riou (PRB), joint par son équipe à 13h30 : « Quelque chose dans la quille »
« La nuit ne s’est pas hyper bien passée pour nous. Après la pointe du Cotentin, nous avons été ralentis pendant plusieurs heures. Nous nous sommes fait allumer par les autres… En fait, nous avions quelque chose dans la quille. Nous avons été contraints de nous arrêter et de faire marche arrière. Nous avons réussi à nous en débarrasser sans voir ce que c’était. Après, on a mis du charbon pour ne pas se faire décrocher. Nous avons fini par recoller puisque nous naviguons maintenant bord à bord avec Virbac Paprec. Nous avons réussi à nous reposer, à manger. La mer n’est pas encore trop agitée. Je pense que nous allons virer d’ici 40 à 50 milles. Il y aura ensuite des trajectoires probablement différentes. »
Jacques Fournier (Groupe Picoty) : « Nuit éprouvante »
" La nuit a été intense et éprouvante, principalement à des ruptures de positions GPS. Cela est stressant quand tu te trouves entre une ribambelle de cargo et que tu ne sais pas ou tu es et quelle route tu fais. Donc veille attentive, deux gars sur le pont et angoisse pour l'avenir de la course. Enfin tout est revenu dans l'ordre mais sans comprendre pourquoi. Ce sont les mystères de l'informatique. Nuit éprouvante physiquement par l'état de la mer. Nous jouons la carte de la préservation du matériel. La grande question du jour: Route nord ou route sud ? Les deux connaitrons des moments difficiles. Suivant nos fichiers, le Nord est supposé plus rapide mais par un passage au nord d'une dépression musclée. Le sud risque de buter sur un anticyclone qui sera difficile à négocier. Ces fichiers sont-ils fiables au delà de 4-5 jours de prévisions? Où est le plus grand risque si l'évolution n'est pas celle annoncée ? Nous avons encore quelques heures pour nous décider. Bises. Jacques"
Une direction Nord ou Sud ? Jacques et Jean-Christophe suivent pour l'instant une route médiane. Les vrais choix tactiques sont à venir... Les premières 24 heures à bord d’AKENA Vérandas auront été intenses et vigoureuses, Arnaud Boissières et Gérald Veniard ont privilégié une route plus Sud que la tête de flotte, le duo akénien se préparait en début d’après-midi à virer et à naviguer tribord pour descendre vers Le Sud Ouest. Au pointage de 17h00, l’équipage était 9ème à 19,10 milles de Virbac Paprec 3, désormais en tête des IMOCA... Quelques secondes après le départ, le Monocoque 60 pieds Banque Populaire a vu la plus grande voile tomber a l’eau. Armel Le Cléac’h et Christopher Pratt ont réussi en très peu de temps à le récupérer et le remplacer par le petit gennaker. 13ème de la classe IMOCA hier soir, le duo à bord de Banque Populaire se trouve, au classement de 11h00 ce matin, en 8ème position, à moins d’une vingtaine de milles du leader actuel et glisse vers le sud de l’Irlande dans une mer toujours déchaînée. Depuis 15h00, Jean-Pierre Dick et Jérémie Beyou entrent dans un front qui les a ralentis avant tout le monde. Par contre, ils devraient redémarrer en premier en touchant le nouveau vent d'ouest nord-ouest. Ils mettront alors cap au sud... C'est une véritable démonstration de maîtrise qu'ont offert Yannick Bestaven et Eric Drouglazet à bord d'Aquarelle.com. Les deux marins aiment bien les conditions musclées, ils ont poussé les feux de leur bateau et avouaient ce matin, à la vacation avoir bloqué régulièrement l'aiguille du speedo entre 15 et 20 nœuds... Au classement de midi, les leaders de la Class40 naviguaient bord à bord avec le dernier des Multi50. Derrière eux, tous les favoris sont au rendez-vous. A noter aussi, l'excellent début de course des benjamins de l'épreuve, Ned Collier Wakefield et Sam Goodchild (Concise 2) : les deux jeunes navigateurs britanniques avaient eu l'occasion de démontrer au Mondial Class40 leurs talents de régatiers. Ils ont visiblement l'intention de les transférer au grand large. Mais ils ont dans leur tableau arrière deux sérieux clients : Bureau Veritas – Dunkerque Plaisance (Stéphane le Diraison – Thomas Ruyant) et Initiatives – Alex Olivier (Tanguy de Lamotte – Eric Péron). Damien Seguin et Yoann Richomme (ERDF – Des Pieds et des Mains) restent dans la course malgré le désavantage de naviguer sur un bateau de première génération.
Abandon de Lecoq Cuisine, Comiris Pôle Santé Elior.
« La nuit ne s’est pas hyper bien passée pour nous. Après la pointe du Cotentin, nous avons été ralentis pendant plusieurs heures. Nous nous sommes fait allumer par les autres… En fait, nous avions quelque chose dans la quille. Nous avons été contraints de nous arrêter et de faire marche arrière. Nous avons réussi à nous en débarrasser sans voir ce que c’était. Après, on a mis du charbon pour ne pas se faire décrocher. Nous avons fini par recoller puisque nous naviguons maintenant bord à bord avec Virbac Paprec. Nous avons réussi à nous reposer, à manger. La mer n’est pas encore trop agitée. Je pense que nous allons virer d’ici 40 à 50 milles. Il y aura ensuite des trajectoires probablement différentes. »
Jacques Fournier (Groupe Picoty) : « Nuit éprouvante »
" La nuit a été intense et éprouvante, principalement à des ruptures de positions GPS. Cela est stressant quand tu te trouves entre une ribambelle de cargo et que tu ne sais pas ou tu es et quelle route tu fais. Donc veille attentive, deux gars sur le pont et angoisse pour l'avenir de la course. Enfin tout est revenu dans l'ordre mais sans comprendre pourquoi. Ce sont les mystères de l'informatique. Nuit éprouvante physiquement par l'état de la mer. Nous jouons la carte de la préservation du matériel. La grande question du jour: Route nord ou route sud ? Les deux connaitrons des moments difficiles. Suivant nos fichiers, le Nord est supposé plus rapide mais par un passage au nord d'une dépression musclée. Le sud risque de buter sur un anticyclone qui sera difficile à négocier. Ces fichiers sont-ils fiables au delà de 4-5 jours de prévisions? Où est le plus grand risque si l'évolution n'est pas celle annoncée ? Nous avons encore quelques heures pour nous décider. Bises. Jacques"
Une direction Nord ou Sud ? Jacques et Jean-Christophe suivent pour l'instant une route médiane. Les vrais choix tactiques sont à venir... Les premières 24 heures à bord d’AKENA Vérandas auront été intenses et vigoureuses, Arnaud Boissières et Gérald Veniard ont privilégié une route plus Sud que la tête de flotte, le duo akénien se préparait en début d’après-midi à virer et à naviguer tribord pour descendre vers Le Sud Ouest. Au pointage de 17h00, l’équipage était 9ème à 19,10 milles de Virbac Paprec 3, désormais en tête des IMOCA... Quelques secondes après le départ, le Monocoque 60 pieds Banque Populaire a vu la plus grande voile tomber a l’eau. Armel Le Cléac’h et Christopher Pratt ont réussi en très peu de temps à le récupérer et le remplacer par le petit gennaker. 13ème de la classe IMOCA hier soir, le duo à bord de Banque Populaire se trouve, au classement de 11h00 ce matin, en 8ème position, à moins d’une vingtaine de milles du leader actuel et glisse vers le sud de l’Irlande dans une mer toujours déchaînée. Depuis 15h00, Jean-Pierre Dick et Jérémie Beyou entrent dans un front qui les a ralentis avant tout le monde. Par contre, ils devraient redémarrer en premier en touchant le nouveau vent d'ouest nord-ouest. Ils mettront alors cap au sud... C'est une véritable démonstration de maîtrise qu'ont offert Yannick Bestaven et Eric Drouglazet à bord d'Aquarelle.com. Les deux marins aiment bien les conditions musclées, ils ont poussé les feux de leur bateau et avouaient ce matin, à la vacation avoir bloqué régulièrement l'aiguille du speedo entre 15 et 20 nœuds... Au classement de midi, les leaders de la Class40 naviguaient bord à bord avec le dernier des Multi50. Derrière eux, tous les favoris sont au rendez-vous. A noter aussi, l'excellent début de course des benjamins de l'épreuve, Ned Collier Wakefield et Sam Goodchild (Concise 2) : les deux jeunes navigateurs britanniques avaient eu l'occasion de démontrer au Mondial Class40 leurs talents de régatiers. Ils ont visiblement l'intention de les transférer au grand large. Mais ils ont dans leur tableau arrière deux sérieux clients : Bureau Veritas – Dunkerque Plaisance (Stéphane le Diraison – Thomas Ruyant) et Initiatives – Alex Olivier (Tanguy de Lamotte – Eric Péron). Damien Seguin et Yoann Richomme (ERDF – Des Pieds et des Mains) restent dans la course malgré le désavantage de naviguer sur un bateau de première génération.
Abandon de Lecoq Cuisine, Comiris Pôle Santé Elior.
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Voile
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Louis Bertignac est un musicien français de 57 ans né à Oran. Il fut guitariste du groupe de rock français Téléphone qui s'est séparé le 21 avril 1986. De 1976 à 1986, ce groupe, composé de Jean-Louis Aubert, connu un énorme succès dès ses débuts avec plusieurs tubes et des tournées très populaires. C'était l'un des rares groupes à s'exporter dans d'autres pays. Le guitariste fit ensuite son petit bonhomme de chemin...
Après le succès critique de son dernier album, Grizzly, Louis Bertignac arrive à Olonne-sur-Mer le jeudi 19 janvier 2012, au Havre d'Olonne à partir de 20h30. Guitariste, chanteur et compositeur, il réalisa le premier album de la chanteuse franco-italienne et modèle Carla Bruni en 2002 avec "Quelqu'un m'a dit". Mais aussi celui de Joyce Jonathan (auteur-compositrice-interprète française née le 3 novembre 1989) avec l'album "Sur mes gardes" sortit en 2009. A son palmarès, le musicien détient 7 albums en solo dont le dernier "Grizzly (C'est Vraiment Moi)" sortit le 14 mars 2011. Louis Bertignac est une grande figure de la musique rock, entre blues et rock, pop et chanson française. Sur scène, il électrise le public, à coups de riffs puissants et de solos enivrants. Généreux, il n’hésite pas à reprendre pour le plus grand plaisir des spectateurs les grands succès de son groupe d’origine : Un autre monde, Cendrillon, Quelque chose en toi… En Juin 2012, il assurera la première partie des concerts de Johnny Hallyday au stade de France. Il devrait même venir jouer sur un ou plusieurs titres de Johnny.
Pour plus d'informations : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Bertignac
Ouverture billetterie : 14 décembre à partir de 10h00. Réservation : 02.51.36.93.60 ou www.vendee.fr
Tarifs : 16 euros plein tarif, 10 euros tarif réduit (moins de 26 ans, demandeurs d’emploi, personnes à mobilité réduite).
Pour plus d'informations : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Bertignac
Ouverture billetterie : 14 décembre à partir de 10h00. Réservation : 02.51.36.93.60 ou www.vendee.fr
Tarifs : 16 euros plein tarif, 10 euros tarif réduit (moins de 26 ans, demandeurs d’emploi, personnes à mobilité réduite).
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Concert
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L'Orchestre d'Harmonie des Sables est une harmonie datant de 1830. Elle accueille des musiciens de 12 à 80 ans amateurs de tous âges, d'élèves et de professeurs d'instruments à vent de l'Ecole de Musique. Elle compte actuellement une centaine de musiciens, sous la direction de Christian Guillonneau. Chaque année l'Orchestre d'Harmonie donne 2 grands concerts de gala : le concert de Noël et le concert de Printemps. Il se produit également en plein air, l'été aux Sables d'Olonne et dans plusieurs communes du département.
Un petit avant goût de noël, l'Orchestre d'Harmonie des Sables d'Olonne vous présentera son spectacle "Disney Parade" aux Atlantes à partir de 17h00. Un moment de détente pour tout public puisqu'il s'agit de redécouvrir les plus belles musiques des dessins-animés de Walt Disney, du plus ancien, avec Blanche Neige et les 7 nains, au plus récent, avec Tarzan, en passant par les incontournables, Cendrillon, Les Aristochats ou Aladdin et bien d'autres encore... Un concert plein de surprises et de rêves, comme plongé à Disneyland.
Tarifs : 8€, Gratuit pour les -12ans, 4€ pour les élèves du CIMO
Réservations auprès de l'office de tourisme des Sables d'Olonne 02 51 96 85 78.
Tarifs : 8€, Gratuit pour les -12ans, 4€ pour les élèves du CIMO
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Concert
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La Compagnie Blanca Li vous présente son nouveau spectacle "Le Jardin des délices" aux Atlantes des Sables à partir de 20h30. La talentueuse chorégraphe Blanca Li revient sur scène en s'inspirant cette fois-ci du célèbre triptyque du peintre Jérôme Bosch " Le Jardin des Délices ". Le spectacle alterne à la fois entre le monde de Bosch, onirique, empreint de poésie et de surnaturel, et la vision de Blanca Li, marquée par les contradictions de notre temps. La folie, les désirs et fantasmes se mêlent et se heurtent ainsi dans un même espace aux excès, aux plaisirs consuméristes, aux vanités. Sous la projection du film d'animation du cinéaste Eve Ramboz, les pas des 9 danseurs rythment les saynètes, parfois loufoques et sans logique apparente. Après ses deux précédentes créations "Macadam Macadam" et "Poeta en Nueva York", Blanca Li a prévenu dès le début... Elle est ici pour s'amuser dans ce bal fou et burlesque, débordant de surprises et de fantaisies !
Tarifs à l'unité : 31€, 26€ (réduit), 19€ (jeune).
Renseignements et réservations à l'Office de Tourisme des Sables d'Olonne Tél. : 02 51 96 85 78.
Tarifs à l'unité : 31€, 26€ (réduit), 19€ (jeune).
Renseignements et réservations à l'Office de Tourisme des Sables d'Olonne Tél. : 02 51 96 85 78.
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Spectacle
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Ce lundi, le monde a atteint le cap des 7 milliards d'habitants, selon les estimations de l'ONU (nous étions 6 milliards en 1999). Elles attirent l'attention sur les inégalités croissantes sur la planète et la nécessité du partage des richesses. Durant une conférence de presse, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, annonce que la situation n'est pas à prendre à la légère ; c'est une histoire humaine et pas seulement une affaire de chiffre. La semaine dernière, dans une école new-yorkaise, il souligne les besoins qu'auront cette population croissante pour vivre. Besoin de se nourrir, d'énergie, d'emploi, d'éducation mais aussi de droits et de liberté. Voici le message que portera le secrétaire général de l'ONU devant le sommet du G20 la semaine prochaine à Cannes : face à une population grandissante dans un contexte de crise économique mondiale, les dirigeants du monde doivent s'attendre à davantage de révoltes. Le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), a publié vendredi son dernier rapport et annonce d'avance que la population va continuer de s'accroître pour atteindre 9,3 milliards en 2050 et d'ici la fin du siècle, plus de 10 milliards. D'ici 2025, l'Inde deviendra le pays le plus peuplé du monde, devant la Chine avec 1,5 milliard d'habitants. Ce rapport montre les difficultés qu'auront les gouvernements face aux défis qui attendent le monde. Sans oublier de prendre en compte le réchauffement climatique, la sécheresse et l'explosion incontrôlée des grandes agglomérations. Le vieillissement de la population apporte de nouveaux défis au regard de la croissance économique : soins médicaux, protection des personnes âgées souligne l'ONU. En 1980, ils étaient 384 millions de plus de 60 ans, aujourd'hui ils sont 893 millions et d'ici 2050, ils seront 2,4 milliards selon l'UNFPA. Les disparités sociales continuent de croître, en 1960, les 20% les plus riches possédaient 70% des revenus. En 2005, ils possédaient 77% des richesses.
Source AFP.
Source AFP.
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Les Sables Info
Cette réunion planétaire virtuelle sera l’occasion d’aborder des thèmes liés à l’actualité scientifique et environnementale et de confronter les points de vues et les cultures sur des sujets transversaux tels que l’énergie, l’accès aux soins, la recherche, la gestion des risques…
Un festival au format atypique : 24 heures d’émission en direct de toute la planète pour parler de sciences, d’environnement, de technologie et de développement. Le festival Science Frontières casse le cadre habituel et invente une sorte de «Planéthon», s’arrêtant là où il est midi sur Terre pour parler de science, d'environnement, de développement. 24H de direct retransmis sur Terre.tv et à suivre également sur sciencesetavenir.fr. Les explications du président du festival, Jean-Yves Casgha, journaliste à RFI et directeur deTerre.tv, qui retransmet les 24 heures de direct sur internet.
Sciences et Avenir.fr : Comment est née l’idée d’une telle émission pour le festival Science Frontières ?
Jean-Yves Casgha : Quand j’ai créé ce festival il y a 27 ans, il avait de l’avance sur son temps. Mais avec les années il s’est institutionnalisé et on a perdu ce coup d’avance. Pour la 27ème édition, il fallait que ça change ! En plus, nous diffusions un message de développement durable, d’économies d’énergie… alors que notre festival était devenu de plus en plus gros, que nous déplacions de plus en plus de monde, et que son bilan carbone était vraiment défavorable ! La majorité des intervenants vient de la région, comme le biologiste Didier Raoult qui est à Marseille. Pour la diffusion, nous mettons à profit un outil dont nous disposons depuis 5 ans, le site Terre.tv, qui diffuse uniquement des vidéos.
Nous serons partout sur la planète, sans polluer. Nous évitons aussi la production de déchets polluants, comme les verres et bouteilles plastiques …
Pourquoi avoir opté pour ce format de direct pendant 24H ?
J’ai fait le compte du temps passé avec les invités lors des précédentes éditions du festival : 6 heures par jour pendant 4 jours. 6x4=24, le calcul a été vite fait et l’idée est née de tout concentrer en un seul jour, comme pour un premier Téléthon de la Terre ! A chaque fois qu’il est midi quelque part sur la planète nous serons en lien avec une personne –scientifique ou membre d’une ONG- qui veut faire bouger quelque chose, changer le monde. Parmi nos partenaires il y a l’Inserm (sur des sujets comme le sida, le paludisme, les maladies liées à l'environnement, les virus, les maladies infectieuses…), ou encore l’Institut de recherche pour le développement (IRD), le Cnes… Sur place, il est possible de venir à la bibliothèque de l’Alcazar à Marseille pour suivre l’émission en direct, avec les invités qui seront en plateau.
Cependant il y aura forcément moins de rencontres que lors d’un festival classique ?
Bien sûr, c’est la limite de l’exercice ; il n’y aura pas toutes ces conversations de couloirs entre scientifiques de différents domaines qui se rencontrent et qui discutent… C’est aussi parce que nous avons déjà organisé 26 festivals au format classique que nous pouvons tenter cette expérience ! Nous connaissons beaucoup de gens, les liens existent. Ce ne sera pas désincarné !
Propos recueillis par Cécile Dumas, Sciences et Avenir.fr le 27/10/11.
Plus d'information, cliquez ici
Sciences et Avenir.fr : Comment est née l’idée d’une telle émission pour le festival Science Frontières ?
Jean-Yves Casgha : Quand j’ai créé ce festival il y a 27 ans, il avait de l’avance sur son temps. Mais avec les années il s’est institutionnalisé et on a perdu ce coup d’avance. Pour la 27ème édition, il fallait que ça change ! En plus, nous diffusions un message de développement durable, d’économies d’énergie… alors que notre festival était devenu de plus en plus gros, que nous déplacions de plus en plus de monde, et que son bilan carbone était vraiment défavorable ! La majorité des intervenants vient de la région, comme le biologiste Didier Raoult qui est à Marseille. Pour la diffusion, nous mettons à profit un outil dont nous disposons depuis 5 ans, le site Terre.tv, qui diffuse uniquement des vidéos.
Nous serons partout sur la planète, sans polluer. Nous évitons aussi la production de déchets polluants, comme les verres et bouteilles plastiques …
Pourquoi avoir opté pour ce format de direct pendant 24H ?
J’ai fait le compte du temps passé avec les invités lors des précédentes éditions du festival : 6 heures par jour pendant 4 jours. 6x4=24, le calcul a été vite fait et l’idée est née de tout concentrer en un seul jour, comme pour un premier Téléthon de la Terre ! A chaque fois qu’il est midi quelque part sur la planète nous serons en lien avec une personne –scientifique ou membre d’une ONG- qui veut faire bouger quelque chose, changer le monde. Parmi nos partenaires il y a l’Inserm (sur des sujets comme le sida, le paludisme, les maladies liées à l'environnement, les virus, les maladies infectieuses…), ou encore l’Institut de recherche pour le développement (IRD), le Cnes… Sur place, il est possible de venir à la bibliothèque de l’Alcazar à Marseille pour suivre l’émission en direct, avec les invités qui seront en plateau.
Cependant il y aura forcément moins de rencontres que lors d’un festival classique ?
Bien sûr, c’est la limite de l’exercice ; il n’y aura pas toutes ces conversations de couloirs entre scientifiques de différents domaines qui se rencontrent et qui discutent… C’est aussi parce que nous avons déjà organisé 26 festivals au format classique que nous pouvons tenter cette expérience ! Nous connaissons beaucoup de gens, les liens existent. Ce ne sera pas désincarné !
Propos recueillis par Cécile Dumas, Sciences et Avenir.fr le 27/10/11.
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