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Dominique Souchet: " le résultat de l'élection présidentielle est un choc"
Tels sont les grands enseignements du second tour des élections législatives qui se sont déroulées dimanche.
Le PS et ses proches alliés (PRG, MRC, divers gauche) obtiennent 314 sièges.C'est 25 de plus que la majorité absolue de 289 sièges. Avec les écologistes, qui vont pouvoir former un groupe à l'Assemblée, et les députés du Front de gauche, qui en revanche n'en auront pas, la gauche domine avec 343 élus. Six semaines après son élection, François Hollande a donc désormais les coudées franches pour gouverner et «prendre à bras le corps les problèmes» du pays, toujours confronté à la crise de la zone euro, selon les mots du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Seule ombre au tableau, la cuisante défaite de Ségolène Royal à La Rochelle.
A droite, l'UMP et ses alliés (radicaux, centristes, DVD) obtiennent 229 sièges et perdent plus d'une centaine de députés par rapport à 2007. Plusieurs figures du quinquennat de Nicolas Sarkozy sont battues : Nadine Morano à Toul, Claude Guéant dans les Hauts-de-Seine, Michèle Alliot-Marie dans les Pyrénées-Atlantiques ou encore Georges Tron en Essonne. A l'inverse, François Fillon est élu à Paris, Jean-François Copé réélu à Meaux et Nathalie Kosciusko-Morizet en Essonne.
Dans la foulée de son bon score à la présidentielle (17,9%), le FN signe de son côté, malgré la défaite de Marine Le Pen, son grand retour au Palais-Bourbon pour la première fois depuis 1998. L'avocat Gilbert Collard (Gard), qui s'est fixé «une mission de casse-couille démocratique», et Marion Maréchal-Le Pen, benjamine de l'Assemblée à 22 ans, porteront ses couleurs.
Au total, 234 nouveaux députés font leur entrée au Palais-Bourbon, soit un taux de renouvellement de 40,55%. 155 femmes ont été élues, soit près de 27%, un record.
Le PS et ses proches alliés (PRG, MRC, divers gauche) obtiennent 314 sièges.C'est 25 de plus que la majorité absolue de 289 sièges. Avec les écologistes, qui vont pouvoir former un groupe à l'Assemblée, et les députés du Front de gauche, qui en revanche n'en auront pas, la gauche domine avec 343 élus. Six semaines après son élection, François Hollande a donc désormais les coudées franches pour gouverner et «prendre à bras le corps les problèmes» du pays, toujours confronté à la crise de la zone euro, selon les mots du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Seule ombre au tableau, la cuisante défaite de Ségolène Royal à La Rochelle.
A droite, l'UMP et ses alliés (radicaux, centristes, DVD) obtiennent 229 sièges et perdent plus d'une centaine de députés par rapport à 2007. Plusieurs figures du quinquennat de Nicolas Sarkozy sont battues : Nadine Morano à Toul, Claude Guéant dans les Hauts-de-Seine, Michèle Alliot-Marie dans les Pyrénées-Atlantiques ou encore Georges Tron en Essonne. A l'inverse, François Fillon est élu à Paris, Jean-François Copé réélu à Meaux et Nathalie Kosciusko-Morizet en Essonne.
Dans la foulée de son bon score à la présidentielle (17,9%), le FN signe de son côté, malgré la défaite de Marine Le Pen, son grand retour au Palais-Bourbon pour la première fois depuis 1998. L'avocat Gilbert Collard (Gard), qui s'est fixé «une mission de casse-couille démocratique», et Marion Maréchal-Le Pen, benjamine de l'Assemblée à 22 ans, porteront ses couleurs.
Au total, 234 nouveaux députés font leur entrée au Palais-Bourbon, soit un taux de renouvellement de 40,55%. 155 femmes ont été élues, soit près de 27%, un record.