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S'il devient président de la république en 2012, il aura 60 ans au début de son mandat, et 65 ans à la fin, en 2017.
Ministre de l'Éducation nationale sous trois gouvernements différents de droite, député des Pyrénées-Atlantiques depuis 1986, ancien député européen et conseiller du président du Parlement européen, deux fois président du conseil général des Pyrénées-Atlantiques, conseiller municipal de Pau, il a été aussi président des partis Centre des démocrates sociaux (CDS), Force démocrate, l'Union pour la démocratie française (UDF) et du Mouvement démocrate (Modem) qu'il a fondé.
Il réunit 18,57 % des suffrages au premier tour de l'élection présidentielle de 2007, et fonde peu après un nouveau parti qui se veut au centre de l'échiquier politique : le MoDem, successeur de l'UDF, dont il est le président. Il annonce officiellement le 7 décembre 2011 sa candidature à l'élection présidentielle de 2012, déclarant se présenter en « homme libre ». Le lendemain, sur le plateau de Des paroles et des actes sur France 2, il déclare : « Je serai le candidat des jeunes, des chômeurs, des smicards et de tous les oubliés de la société ».Fin de l'année 2011 et début 2012, plusieurs anciens ministres chiraquiens se rallient à lui, comme les anciens UDF Jean Arthuis, Alain Lambert, Anne-Marie Idrac et Philippe Douste-Blazy ; il en est de même pour le sénateur Yves Pozzo di Borgo et Arnaud Dassier, responsable de la campagne web de Nicolas Sarkozy en 2007. Il met l'accent sur ce qu'il appelle « produire en France et consommer français », la réduction de la dette par le contrôle des dépenses, l'éducation en voulant faire un effort particulier sur les « fondamentaux » au primaire (lire, écrire, compter, défendant notamment l'usage du calcul mental) et de nouveau la réforme des institutions, promettant l'organisation d'un référendum sur la question en même temps que les élections législatives de juin 2012.Le 11 avril 2012, il reçoit le soutien d'une quarantaine de personnalités gaullistes.
Retrouvez le programme de François Bayrou en cliquant ici
Il réunit 18,57 % des suffrages au premier tour de l'élection présidentielle de 2007, et fonde peu après un nouveau parti qui se veut au centre de l'échiquier politique : le MoDem, successeur de l'UDF, dont il est le président. Il annonce officiellement le 7 décembre 2011 sa candidature à l'élection présidentielle de 2012, déclarant se présenter en « homme libre ». Le lendemain, sur le plateau de Des paroles et des actes sur France 2, il déclare : « Je serai le candidat des jeunes, des chômeurs, des smicards et de tous les oubliés de la société ».Fin de l'année 2011 et début 2012, plusieurs anciens ministres chiraquiens se rallient à lui, comme les anciens UDF Jean Arthuis, Alain Lambert, Anne-Marie Idrac et Philippe Douste-Blazy ; il en est de même pour le sénateur Yves Pozzo di Borgo et Arnaud Dassier, responsable de la campagne web de Nicolas Sarkozy en 2007. Il met l'accent sur ce qu'il appelle « produire en France et consommer français », la réduction de la dette par le contrôle des dépenses, l'éducation en voulant faire un effort particulier sur les « fondamentaux » au primaire (lire, écrire, compter, défendant notamment l'usage du calcul mental) et de nouveau la réforme des institutions, promettant l'organisation d'un référendum sur la question en même temps que les élections législatives de juin 2012.Le 11 avril 2012, il reçoit le soutien d'une quarantaine de personnalités gaullistes.
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