"Je ne sais pas où va le MPF aujourd'hui, je ne sais pas quelle est son identité", a déclaré M. Retailleau dans une conférence de presse à la Roche-sur-Yon ce vendredi.
Fidèle de Philippe de Villiers depuis ses débuts en politique, M. Retailleau était l'un des vice-présidents du Mouvement pour la France.
"Quand on est dans un parti politique, il faut se sentir à l'aise", et "je ne m'y sentais pas", a également déclaré M. Retailleau.
Le sénateur de Vendée a notamment évoqué "la ligne très très dure", "de radicalisation" prise par le parti avant l'élection présidentielle de 2007, qu'il avait "très mal vécue", puis un rapprochement avec l'UMP "assez artificiel".
Il a indiqué qu'il ne "souhaitait pas reprendre une autre étiquette politique" dans un autre parti, et qu'il entendait rester premier vice-président du conseil général.
"Je ne vois pas pourquoi je devrais quitter la première vice-présidence c'est une élection, pas une nomination", a-t-il déclaré.
Dans un court communiqué, Philippe de Villiers a indiqué que la décision de M. Retailleau "le peinait et l'attristait d'autant plus" qu'il "n'avait pas l'intention de changer de premier vice-président du conseil général".
Philippe de Villiers "continuera à travailler avec son premier vice-président dans l'intérêt des Vendéens", a déclaré le président du MPF dans un communiqué.
Ces derniers mois, Bruno Retailleau avait laissé filtré son ressentiment à l'égard de Philippe de Villiers, qui s'était notamment opposé en janvier 2009 à l'entrée du sénateur vendéen au gouvernement, comme secrétaire d'Etat à l'économie numérique.
Philippe de Villiers avait aussi écarté Bruno Retailleau du spectacle du Puy-du-Fou, dans lequel le sénateur vendéen était arrivé à l'âge de 16 ans, comme cavalier bénévole.
Fidèle de Philippe de Villiers depuis ses débuts en politique, M. Retailleau était l'un des vice-présidents du Mouvement pour la France.
"Quand on est dans un parti politique, il faut se sentir à l'aise", et "je ne m'y sentais pas", a également déclaré M. Retailleau.
Le sénateur de Vendée a notamment évoqué "la ligne très très dure", "de radicalisation" prise par le parti avant l'élection présidentielle de 2007, qu'il avait "très mal vécue", puis un rapprochement avec l'UMP "assez artificiel".
Il a indiqué qu'il ne "souhaitait pas reprendre une autre étiquette politique" dans un autre parti, et qu'il entendait rester premier vice-président du conseil général.
"Je ne vois pas pourquoi je devrais quitter la première vice-présidence c'est une élection, pas une nomination", a-t-il déclaré.
Dans un court communiqué, Philippe de Villiers a indiqué que la décision de M. Retailleau "le peinait et l'attristait d'autant plus" qu'il "n'avait pas l'intention de changer de premier vice-président du conseil général".
Philippe de Villiers "continuera à travailler avec son premier vice-président dans l'intérêt des Vendéens", a déclaré le président du MPF dans un communiqué.
Ces derniers mois, Bruno Retailleau avait laissé filtré son ressentiment à l'égard de Philippe de Villiers, qui s'était notamment opposé en janvier 2009 à l'entrée du sénateur vendéen au gouvernement, comme secrétaire d'Etat à l'économie numérique.
Philippe de Villiers avait aussi écarté Bruno Retailleau du spectacle du Puy-du-Fou, dans lequel le sénateur vendéen était arrivé à l'âge de 16 ans, comme cavalier bénévole.
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